accueil

- De l'église Saint-Pierre, descendre la place des Églises et rejoindre la place du Martroi par la rue des Églises.
- Suivre, à gauche, la rue Neuve des Forges. Au-delà du pont, traverser la place des Forges jusqu'à la rue des Forges. A droite, rue de la Pêcherie, que l'on remonte jusqu'à la place du Martroi
- Sur la place du Martroi, prendre à gauche la rue du Martroi prolongée par la rue du Four, jusqu'à la place du Four. Tourner à gauche dans la rue de Bourrienne, que l'on suit jusqu'à la rue du Lion d'Or, prolongée par la rue du Perray.

La prison

Le promeneur qui se dirige vers la place du Martroi franchit (au niveau de la pharmacie), ce qui était l'enceinte de l'abbaye, autrefois fermée par une porte. Cette porte "basse", double porte fortifiée, était, comme la porte "haute", un passage couvert, dominé par les bâtiments de la prison et la salle du bailliage, où l'on rendait justice les mercredis et samedis de la semaine (Dom Morin, livre VI, p.783). Le tribunal était composé d'un bailli comme juge, d'un procureur fiscal, d'un greffier et d'un appariteur ou massier.
Porte et prison ont été démolies le 10 février 1879, par décision du conseil municipal, pour donner libre accès à la place et permettre aux charrettes de passer ; il n'en reste que quelques assises. Au moment de sa démolition, le bâtiment servait de logement à l'appariteur de la commune et d'abri aux ouvriers de passage qui se trouvaient sans ressources. La geôle avait été construite en 807, peu après la mort d'Alcuin. Elle comportait deux cachots solidement murés, au-dessus de deux souterrains assez profonds, étroits, obscurs et humides. Elle était, dit-on, effroyable et digne de toutes celles de l'époque. En juin 1855, un journaliste orléanais (Ed. Pagnerre) visitant Ferrières, la décrit en ces termes : Nous avons visité la prison et les cachots de l'antique abbaye. Pourquoi des cachots dans un monastère ? Il court à ce sujet dans le pays des histoires bizarres, terribles, et qui donnent la chair de poule. Le fait est que ces cachots ressemblent à de véritables oubliettes. Ce sont des puits profonds de 25 à 30 pieds, construits en quartiers de pierre de taille, obscurs et froids comme la tombe ; on y entre ou plutôt on y descend comme un seau dans un puits. Le patient, enfermé là, pouvait crier tout à son aise. Dieu seul entendait ses cris, étouffés par des murs d'une épaisseur considérable. Les dalles du sol sont liées entre elles par d'énormes tenons de fer qui empêchaient le malheureux prisonnier de chercher dans son désespoir, une évasion souterraine. Tout avait été prévu. La nourriture tombait par la trappe du haut, et pour que les mauvaises odeurs n'étouffassent pas le patient, on avait creusé dans l'épaisseur de la muraille une niche disposée en fosse d'aisance. Ces cachots ont gardé leur aspect lugubre. Et c'est avec un vif sentiment de curiosité qu'ils sont visités par les rares touristes auxquels il vient l'idée d'opérer, à grands renforts d'échelles, une descente au fond de ces curieuses oubliettes.
Oubliettes ? Vision romantique et romanesque d'une réalité peut-être bien plus prosaïque : selon des témoignages dignes de foi (ceux, en particulier, de Jarossay ou de P. Bauchy), les fameux souterrains n'étaient que des fosses d'aisance à l'usage des prisonniers. Une prison dans l'abbaye ? Certes, car l'abbaye avait droit de haute, basse et moyenne justice sur tous ses domaines ; elle avait les officiers et les locaux propres à l'exercer. Dans l'enceinte de l'abbaye se trouvaient donc aussi des prisons, pour les laïcs comme pour les moines.
La place du Martroi

C'était le cœur de la cité, le lieu où se faisaient les transactions et parfois aussi le lieu des exécutions. Elle se trouve au bas de la Grande Rue, rue commerçante qui longeait à l'extérieur les murs de l'abbaye. De la prison, les condamnés pouvaient y être directement conduits pour y subir leur châtiment : le pilori (?), la roue (?) mais pas la potence, qui se dressait selon l'usage hors de la ville, à l'entrée de Fontenay-sur-Loing. Le roi Charles VIII avait donné, en 1490, l'autorisation d'y dresser les fourches patibulaires de l'abbaye, parce que c'était le grand chemin, et que, disait-on, les forgerons qui étaient répandus dans les bois tout autour, ainsi que les bandits de grand chemin, commettaient souvent meurtres et assassinats sur les passants. Sur la gauche de la place du Martroi, à l'angle de la rue Neuve des Forges, on peut voir une grande et belle maison : bâtiments et jardin clos occupent la portion de terrain qui descend jusqu'à la fausse rivière venant autrefois de l'Etang des Moines, qui alimentait les moulins. La façade qui donne sur la place du Martroi porte les traces d'ouvertures anciennes : c'était un porche au-dessus duquel s'est trouvé un temps, à l'étage, le tribunal.
La place des Forges

La rue Neuve des Forges longe, sur la droite, l'ancienne tannerie, dont on peut admirer la façade (traces de percements, belle porte avec ferrures anciennes) ; elle relie la place du Martroi à la place des Forges : le pont sur la fausse rivière a été construit en 1840.
Sur la rive gauche de la fausse rivière, à l'extérieur de la clôture du monastère, mais à l'intérieur de l'enceinte urbaine du XVIe siècle, la "cour des Forges" était une dépendance de l'abbaye. La place est bordée par des constructions de la fin du XVIIIe siècle sur l'emplacement de la maison du maître de forge et des bâtiments artisanaux. Sur la rive droite, en amont du pont, se trouvait le moulin qui actionnait les soufflets de forge : dans la façade se devine, muré, l'orifice de l'axe de sa roue à aube (vendue en 1951).

La ville des forgerons

Selon Dom Morin (livre V, chapitre 1), la ville de Ferrières a été appelée de ce nom a cause que plusieurs forgerons s'estendirent es environs de nostre Dame de Bethléem et la fourmilliere des mines de fer, lesquelles duroient encore du regne du roy Charles huictiesme […] comme nous appert par une lettre de commission au Baillif de Sens. Etymologie reprise et confirmée par R.G. Gastellier, dans son Essai topographique, minéralogique, historique de la province du Gatinois : Ferrières Ferrariae Ferrarium est une petite ville située sur la rivière de Cléry, à deux lieues et demie nord est de Montargis. Son nom semble se tirer des mines de fer dont elle est environnée de toutes parts. Cette ville est bâtie à mi-côte sur une colline, elle est une des plus anciennes villes du Gâtinois, et une des plus riches en mines de fer. On rencontre à chaque pas des pyrites martiales, des marcassites, on y voit aussi des vestiges d'anciennes forges, il y a même un quartier de la ville où elles étoient qui en a retenu le nom et qu'on appelle Les Forges.
La tradition veut que les forgerons aient été à l'origine de la ville de Ferrières : ils auraient fait bâtir quelques maisons avec celles qui y étaient faites pour la réception des pèlerins qui accouraient de toutes parts pour visiter l'église de Bethléem sous Clotaire II.
Au temps des Gaulois, les gisements de fer étaient abondants dans la région (voir Une petite ville du Bocage gâtinais). Le minerai de fer était recueilli en grains, presque à fleur de terre, traité par le charbon de bois, sans fondant. Plus tard, au Moyen Age, on extrayait le fer des scories romaines ou gauloises trouvées sur place. A Ferrières, on a découvert en 1886, près des murs de l'ancienne abbaye, au bord de la voie romaine d'Auxerre à Chartres et au fond d'un petit étang à sec, des restes de fourneaux, des scories et des débris de combustibles, qui attestent l'importance de cet atelier. On y a trouvé diverses pièces de bronze : une médaille dont la face porte une tête d'homme lauré et l'inscription D. Hadrianus, et le revers la figure d'une femme debout tenant une couronne de laurier et qui peut être datée de 120 de J.C. ; une monnaie à l'effigie de Valens, datée de 370 de l'ère chrétienne (Jarossay, op. cit. p.21). Non loin , à Bransles, plusieurs forges ont existé jusqu'au XVIe siècle, au bord du Betz, l'une aux Canivelles, au lieu-dit le Pré de la Forge, une autre entre le moulin du Gros Lot et la Jeandrillonnerie, d'autres à Genouilly, où la forge a été remplacée par une fonderie de cloches : la dynastie des Rousseau a porté au XVIIIe siècle le renom de Bransles dans toute la région , au moins jusqu'à Joigny. Les forgerons avaient quitté Ferrières au XVIIIe siècle, et les mines de fer étaient abandonnées, sans doute, toujours selon R.G. Gastellier, à cause de la rareté et de la chereté des bois, conséquence, dit-il, des exportations qu'on en fait tous les jours à Paris qui est un gouffre de consommation en tous genres.

Au bas de la rue Neuve des Forges, à droite du pont, le mur d'enceinte du jardin actuel fermait autrefois l'enclos de l'ancienne tannerie ; les traces au sol des emplacements des bacs de trempage existent encore dans le jardin, où se trouve aussi une pierre portant gravés les outils du tanneur, qui pourrait être une enseigne.
Ferrières possédait de riches et fines tanneries que Meung lui jalousa (Ed. Pagnerre, Journal du Loiret, juin 1855). Quatre tanneurs sont mentionnés dans les Cahiers de Doléances. Les tanneries fonctionnaient toujours au milieu du XIXe siècle ; celle de la rue Neuve des Forges est restée en activité jusqu'à la fin du XIXe siècle.
De la rue de la Pêcherie à la place du Four

La rue des Forges marque la limite du quartier des forgerons. Sur la droite, la rue de la Pêcherie évoque une activité essentielle de l'abbaye : la pisciculture. L'étang des Moines, situé en contrebas de l'abbaye, alimentait des viviers qui fournissaient aux moines nourriture et revenus, par l'affermage des droits de pêche. L'un de ces viviers se trouvait au pied de la chaussée de l'étang (actuel boulevard de la Brèche), au-delà de la grande bonde et auprès du petit étang ; un autre était, dit-on, sur la fausse rivière au niveau du pont actuel, construit par les échevins en 1766, et du lavoir de construction récente.
Ce lavoir, fixe, construit en pierre, présente une particularité : la panne sablière de la toiture, à l'aplomb de la margelle, porte des numéros de 1 à 12 gravés dans le bois, indiquant les places des lavandières et limitant ainsi leur nombre.
En aval, le cours est barré par la chute d'eau d'un ancien moulin monastique, le moulin à tan. Car le quartier des forgerons est aussi le quartier des tanneurs.
Au-delà, dans la partie montante, la rue de la Pêcherie est bordée de maisons anciennes : les encadrements des portes et des fenêtres sont en pierre de taille. On remarquera particulièrement, à gauche, au n°9, la devanture d'une ancienne échoppe et au n° 15, une maison de 1626.
On arrive à la place du Four par la rue du Martroi, puis la rue du Four. La place du Four, sur laquelle se trouve aujourd'hui une boulangerie, s'appelait encore au siècle dernier "place du four banal", dont les droits avaient été concédés à l'abbaye par Louis VII en 1143 : le four banal était le four "commun" que les habitants étaient tenus d'utiliser moyennant une redevance.
La place est bordée de maisons anciennes. La plus importante est une demeure à tourelle ouvrant sur une cour, que l'on aperçoit à gauche, à l'angle de la rue de Bourrienne ; on remarquera en particulier la charpente de la grange
De la Rue de Bourrienne à la Rue du Perray

La rue de Bourrienne est bordée, sur la droite, par des maisons plus récentes, qui témoignent de l'expansion moderne de Ferrières à l'ère du chemin de fer. Là se trouve l'ancien quartier industriel, dans le prolongement du quartier des pêcheries et des forges. Au n°7 de la rue de Bourrienne, une grande demeure bourgeoise aux volets bleus est ce qui reste de la tannerie Duchesne du XIXe siècle : la maison de maître et des communs. Elle jouxtait l'usine, aujourd'hui démolie et remplacée par les bâtiments d'une résidence pour personnes âgées (n°5).

Tanneries et tanneurs

La tannerie a été une industrie vivante et florissante dans toute la région de Montargis, réputée pour la qualité de ses cuirs depuis le Moyen Age jusqu'à la fin de la première guerre mondiale. Les tanneries de Ferrières étaient parmi les plus célèbres. L'abondance et la qualité des eaux favorisaient cette industrie. Le tannage végétal pratiqué dans les tanneries de la région était une opération dure, dans l'humidité et les mauvaises odeurs, et lente : 515 jours environ pour une peau de bœuf de 55 kg.
Les peaux étaient d'abord soumises au "travail de rivière" : trempées (reverdissage) pour être nettoyées et débarrassées des cornes, sabots, onglons et crânes, sang et impuretés diverses ; épilées et préparées pour l'absorption du tanin (pelanage, dans des cuves contenant un bain de chaux éteinte, le pelain) ; raclées (ébourrage) avant d'être mises à dégorger dans l'eau d'un bassin ; grattées, "écharnées", à nouveau lavées, elles sont alors prêtes à recevoir le tanin.
Le tanin est fabriqué à partir d'écorces de chêne, prises au printemps sur des taillis de 15 à 20 ans. Ces écorces, séchées, sont rassemblées en bottes d'une vingtaine de kilos, brisées en "écorçons" avec une serpette ou une hachette, réduites en poudre dans les moulins à tan. Les plus courants sont des moulins à meules horizontales comme ceux des meuniers.
Le tan usé était récupéré, moulé, séché pour faire des mottes de combustible bon marché.
Les familles de tanneurs appartenaient en général à la petite bourgeoisie marchande. L'entreprise familiale comptait un petit nombre d'ouvriers : de un à quatre, y compris le patron. Le travail était rude, aussi bien à la rivière que dans les ateliers, mal fermés et non chauffés. Les peaux chargées de chaux étaient manipulées en partie à pleines mains. Les fosses étaient dans la cour, à ciel ouvert.
Odeurs pestilentielles et poussière de tan ont contribué à rendre les tanneries indésirables dans le centre des villes. Au XIXe siècle, Ferrières possédait plusieurs tanneries à vapeur, alimentées par les eaux de la Cléry, qui occupaient une centaine d'ouvriers ; on y fabriquait des cuirs forts par les procédés anciens, et par les procédés nouveaux avec les bois et les écorces d'Amérique, très riches, paraît-il, en tanin. Mais l'industrialisation des tanneries, qui a entraîné la modernisation des locaux et le changement progressif des techniques, a peu à peu contribué à la disparition des tanneries ferriéroises.
Toutefois, la tannerie Duchesne, aux Collumeaux, a continué jusqu'après la guerre de 1914, un tannage lent à l'ancienne : ses cuirs étaient très prisés par les corroyeurs de la région parisienne. Les tanneries de Gentilly, ancienne tannerie Duchesne complétée par une corroierie et un atelier de maroquinerie, ont subsisté jusqu'à la deuxième guerre mondiale.

Quand la tannerie se déplaça en dehors de l'agglomération, aux Collumeaux, les édifices privés furent occupés par les religieuses qui y installèrent une école ménagère. Elles cédèrent la place à l'ASTAF (Association sous tutelle avec foyer). C'est maintenant, entièrement rénové, un foyer pour personnes handicapées.
Quant aux bâtiments d'usine, ils furent achetés par des industriels bonnetiers qui y travaillèrent jusque dans les années 70.

La bonneterie à Ferrières

Cette usine rythma pendant près de cinquante ans la vie des Ferriérois. Les propriétaires, la famille Minaux, dont les premiers arrivèrent en 1920, avaient déjà des ateliers parisiens dont la création remontait au second empire. Alliés à des bonnetiers et à des filateurs de l'Est victimes de la première guerre mondiale qui voulaient enfin travailler en paix, ils trouvèrent à Ferrières ce qu'ils cherchaient : l'espace, de la main d'œuvre et la proximité du chemin de fer. De plus, la rivière permettait d'avoir la force motrice à peu de frais. L'usine put ainsi doter très tôt le quartier en électricité.
Les bâtiments principaux, en bordure de rivière, étaient vastes, bien éclairés et conçus pour environ deux cents ouvriers. Cependant l'usine n'eut qu'une activité modérée, en raison de ses choix d'excellence car des matières premières de grande qualité y étaient traitées, en particulier des laines et du coton importés d'Afrique du Sud et d'Australie.
Traitement des fibres à la paraffine, machines à jersey circulaire, gratteuses à molleton, tricoteuses, ateliers de coupe et d'assemblage, occupèrent une cinquantaine de personnes. En 1968, l'usine évolue vers la production de tissus destinés à la haute couture et aux vêtements griffés. Rachetée par les filateurs DMC, elle fut transférée dans le Nord. Ce fut la fin du textile à Ferrières. Les locaux furent ensuite occupés par une usine de produits chimiques, la C.P.C.E., elle aussi délogée pour des raisons de commodité et de sécurité. Longtemps fermés, les bâtiments inoccupés ont été rasés. Il a bien fallu bien tourner la page.

Au n°3, une maison du XVIIe siècle (que les Ferriérois appellent "la maison Durand", du nom d'un de ses anciens propriétaires) porte au-dessus de son porche les attributs des tanneurs (couteau à écharner et chevrette pour mouler le tan).

La rue de Bourrienne rejoint la rue du Lion d'Or puis la rue du Perray.
Au n° 5 de la rue du Lion d'Or se dresse une jolie façade de pierres et de briques recouverte de vigne vierge : c'est l'ancien moulin à blé, actionné par la Cléry, converti ensuite en lunetterie.
L'usine mettait au point des verres de lunettes et des lentilles pour différents appareils optiques (jumelles, télescopes, appareils photos). Elle recevait le verre de l'usine qui le produisait à Bagneaux-sur-Loing. Le travail de façonnage et de polissage des verres se faisait essentiellement à la main. Le tour de main et le coup d'œil des ouvriers spécialisés qui y travaillaient devaient être infaillibles et la main d'œuvre féminine était particulièrement recherchée.
Au n° 1 de la même rue, face au pont s'ouvre le portail du jardin d'une grande maison bourgeoise. Maison de notable du XIXe siècle, elle est bâtie sur la rive de la fausse rivière, que la rue franchit sur un petit pont de pierre. A gauche du pont, belle vue sur la chute du moulin à tan et la perspective de l'abbaye ; à droite, on aperçoit le confluent avec la Cléry
Au-delà, dans la rue du Perray, sur la droite, se trouve la "maison à la tour tronquée". Cet édifice, récent (la date de 1793 est gravée sur une pierre de réemploi…), était autrefois pourvu d'une tourelle étroite et haute, surmontée d'une espèce de kiosque auquel on accédait par un escalier de fer.
La dernière maison à droite avant le pont sur la Cléry se distingue par sa passerelle ornée de glycine qui permet d'accéder à une petite bâtisse appelée "la chapelle". Son vaste parc s'étend de part et d'autre de la rivière. Passant devant le lavoir du quartier auquel on accède par quelques marches, le promeneur contourne la "chapelle" et arrive à la rue des Prés.
Quand la tour n'était pas tronquée…
La maison à la tour tronquée, aujourd'hui
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