accueil

La Selle-sur-le-Bied.

Du bas latin cella ? le Bied = le bief ? le nom désignerait à l'origine une grange dépendant de l'abbaye. La grange devint prieuré, donné par le pape Eugène III à Jean, abbé de Ferrières, le 4 des calendes de mai 1147, puis comté. Parmi les titulaires de ce comté, on relève des noms célèbres : c'est un Saulx de Tavannes en 1641, un d'Aquin en 1695, les du Deffand et de Bethisy au XVIIIe. Le château des Bethisy élève encore ses deux pavillons sur la motte carrée qu'entoure le bief de la rivière.
L'église possède un collatéral aveugle ajouté à la fin du XVe siècle en même temps qu'une série de peintures murales.

Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir
Cliquer pour agrandir
Pour en savoir plus, ici       
   
  "Présentation de La Selle sur le Bied,
 Historique et patrimoine
, par Roland VOUETTE
Chevannes.

Le village est établi au creux de la vallée de la Sainte-Rose, en un lieu peuplé bien avant la conquête romaine. En témoigne la "Pierre des Sorciers", menhir isolé qui se dresse au lieudit "les Prés du Village", face à l'église.
Cette église (fin XVe - début XVIe) a été restaurée en 1875 puis en 1930 par la famille Dupont de Nemours. Accolée au porche se trouve la tombe de Marie Le Dee, première épouse de Pierre Samuel Dupont de Nemours. La demeure familiale des Dupont était au Bois des Fossés dans la vallée du Betz, non loin du hameau des Bordes. La demeure actuelle est une construction récente édifiée sur l'emplacement de l'ancien château.
De la place de la mairie, le chemin des Fontaines conduit, à travers la forêt, aux ruines de la chapelle Notre-Dame de Pitié, datant probablement du XVIIe siècle. La Sainte-Rose, qui prend sa source à Ervauville et disparaît au niveau de la ferme des Hoctins, réapparaît sous forme d'une source tout près de la chapelle, lieu de pèlerinage encore vivant en 1870.
Agrandissement : 448x600 (39 ko)
Cliquer pour agrandir
Pour en savoir plus :  ici

Griselles.

L'église Saint-Aignan dépendait autrefois de l'abbaye de Ferrières.
Les fermes du Grand-Crachis et de Courvilaine étaient des granges aux dimes. Celle de la Grande-Ronce a été construite à l'emplacement du couvent des moniales jumelé avec l'abbaye de Ferrières.
Le château de la Fontaine, construction moderne sur le plateau, remplace un vieux castel, dont on voit encore les ruines auprès d'une fontaine.
Construit en bordure de la forêt, le château de Bois-le-Roi est sur l'emplacement d'un ancien rendez-vous de chasse des rois de France. A l'ouest de Griselles, le pont dit du Gril de Corbelin conserve sept arches gothiques bâties pour Louis de Blanchefort dont on voit, à l'amont, les armes, la mitre et la crosse.

Pour en savoir plus : ici

Cliquer pour agrandir
Agrandissement : 400x600 (27 ko)

Pers-en-Gâtinais.

Eglise Saint-Loup, prieuré cure dépendant de l'abbaye de Ferrières. Menhirs, four banal, source de Saint Loup (pèlerinage jusqu'en 1950).

Pour en savoir plus : ici

Chevry-sous-Le Bignon.

Eglise du XIIe siècle, belles peintures murales.
Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir
Pour en savoir plus :  ici
Le Bignon-Mirabeau.

L'église du XVIe siècle, dans laquelle on peut voir le tombeau de Louis de Melun, seigneur du lieu (1568). A côté du porche se dresse une statue de Gabriel Honoré de Riqueti, comte de Mirabeau (1749-1791) né au Bignon. A la sortie du village, sur les bords du Betz, dans la fraîcheur d'un parc où jaillissent des sources et où des arbres rares mêlent les teintes de leurs feuillages, on découvre le château, demeure du poète Patrice de La Tour du Pin. (1911-1975)
Cliquer pour agrandir
Cliquer pour agrandir Cliquer pour agrandir
Pour en savoir plus :  ici
suite
.